Je ne suis pas une fan du téléphone non plus !
Je procrastinise, souvent à cause du téléphone. Mais je ne le fais que pour des trucs perso, appeler un ami, prendre un RDV chez le médecin, le dentiste, demander un remboursement, arranger une chaudière…
Donc ce n’est que pour tout ce qui est perso. En fait, je ne m’occupe pas de moi, cela me demande un effort surhumain.
Tandis que pour les autres pas de souci, dans le travail non plus.
Pour les Autres, je manie le téléphone à merveille, je suis patiente. Je suis capable de rester 1 heure 30 en attente au tel s’il le faut pour réussir à régler un problème important pour Autrui ou réussir à décocher un RDV médical pour Autrui (et pas dans un cadre de travail).
Mais pour moi, niente, rien du tout ! Je ne décroche pas le téléphone. L’écrit ça va un peu mieux, mais pas top non plus.
Si quelqu’un a une solution pour modifier ça ? je suis prenante
En règle générale (travail inclus) je préfère l’écrit, les mails, lettres ou SMS. ça va plus vite, on va droit au but, et on évite des gens qui papotent pour papoter… des gens qui parlent tout Tout le temps… s’ils sont en crise et qu’il faut les écouter ok, mais quand c’est une verbiage oral infini et qu’ils n’écoutent pas, c’est pénible… dans ce cas je pars dans les nuages… donc pas terrible… c’est un peu violent comme situation. Je suis d’accord avec
@Idem : ça monopolise complètement.
Pour le travail je ne réponds pas au mobile, j’oblige ainsi mes clients à ne me joindre que via le fixe ou le mail. C’est mon astuce ;-)
J’avoue aussi avoir arrêté net de téléphoner, le jour où ma mère qui habitait un autre pays, m’a dit (dans mon souvenir, je lui téléphonais deux fois par mois) : ¡ Ce n’est pas normal que tu m’appelles, cela démontre que tu es dépendante ! (moi qui vivait à l’étranger depuis 15 ans…). Du coup, j’ai arrêté de téléphoner, et pour ne pas me sentir coupable, j’ai fait ça avec tous.
Hors-sujet
Ma mère était très spé… Pas aimante du tout. Je me rappelle que quand j’étais petite, elle me disait que je faisais les choses pour si ou pour ça (en général par rapport à elle), et je le lui disais mais non, et elle rétorquait, ah mais SI, mais tu ne le sais pas par ce que c’est dans ton inconscient, et elle me bassinait toujours avec un soit disant fameux « complexe d’eodipe »… En gros, j’étais un monstre et j’en étais même pas consciente… rien à faire quoi… pas de solution possible…toujours coupable… pas de défense possible… je ne saurais donc jamais ce qu'il y a dans ma tête, mais les autres oui... un film d'horreur quoi... enfin je m’égare...
PS : Une exception :
J’adore appeler mon amoureux, entendre sa voix, son énergie, son rire
Il habite aussi dans un autre pays… donc le téléphone… c’est quand même sympa quand on est loin et qu’on ne peut pas se voir et se parler face à face tous les jours.
Comme quoi, ¿ Est-ce vraiment le téléphone qui est en cause ?… Ou ne serait-ce pas plutôt… le but recherché… la personne… le problème à résoudre… pour qui on le fait...
S’y confronter oralement diffère d’une confrontation écrite plus aseptisée, moins rapide où l’on n’a pas besoin de répondre au tac au tac (surtout quand on est nul à ce jeu-là, quoique maintenant avec les textos ça change ;-), plus sécurisée où l’on évite de se prendre de la violence verbale en pleine figure… l’écrit reste gravé… l’oral est éphémère, sans preuves… de ce qui a été dit… sauf quand on enregistre