Bon j'ai rempli, je trouve qu'il manque toujours la case "ça dépend" et que c'est dans l'ensemble assez orienté psychopatho et du coup quand on connaît on voir venir gros comme une maison. Je trouve qu'il n'y a pas beaucoup de place pour exprimer qu'on va juste bien sans trop d'un côté ou de l'autre.
J'ai eu du mal à remplir la partie "boulot" vu que j'ai pas de chef et pas d'équipe. Il y a aussi des trucs redondants, mais je suppose que c'est fait exprès pour croiser les réponses et obtenir un truc cohérent.
Il y a aussi des formulations ambiguës. Exemple : l'utilisation du mot "bavardage". Perso le "bavardage" ça me saoule, mais j'aime bien parler avec des gens (sous entendu de trucs un peu intéressants). Bavadage = bavassage sans objet pour moi... Du coup je ne sais pas si j'ai bien répondu...
Voilà mes premières impressions.
Et oui pour la date il doit y avoir un bug !
Sur les échanges préalables il y a peu de choses à dire. La personne qui gère le questionnaire est une étudiante en master de recherche en psychologie.
Extraits de mails :
Le but de ma première étude (sous la direction du Professeur Henri CHABROL) était de déterminer si les surdoués détectés tardivement (après 20 ans) pouvaient développés des pathologies. Les résultats ont permis de mettre en évidence l'existence de traits autistiques et/ou schizotypiques chez certains des participants. Pour mon deuxième mémoire je souhaite affiner ma recherche et je recherche donc des participants pour une deuxième étude.
Les fondements de mon sujet sont les suivants : les professionnels de la santé soutiennent l'idée que les adultes surdoués, qu'ils ont en consultation, développent des traits pathologiques. Scientifiquement rien ne permet de dire exactement quels sont ces traits. Le but de m'a recherche était donc de les identifier.
> Nous avons fait une étude quantitative.
> Suite à une analyse bibliographique il m'a paru intéressant d'étudier la présence, ou non, de certains traits pathologiques. Les participants ont donc répondu à des questionnaires sur l'hypomanie, la dépression, la cyclothymie, la schizotypie et les traits autistiques. Les données ont été recueillies auprès d'un échantillon non clinique de 95 personnes (49 hommes, 46 femmes, QI>130). L'analyse du coefficient d'agglomération et du dendogramme a indiqué qu'un découpage en trois groupes était le plus approprié. L'analyse classificatoire a défini les trois groupes suivants : le groupe le plus important (41,05 % des sujets, n = 39), caractérisé par un niveau élevé de traits autistiques.Les sujets de ce groupe sont correctement classés à 97,43%. Le deuxième groupe (32,63% des sujets, n = 31) est caractérisé par un niveau élevé de schizotypie.Les sujets de ce groupe sont classés correctement à 90,32%. Enfin le troisième (26,31% des sujets, n=25) est caractérisé par une absence de traits pathologiques quels qu'ils soient.