Ce sujet a un potentiel de 3 sur l'échelle du troll (allant de 0 à 3). Il va donc s'agir de prendre du recul, et d'expédier nos différents points de vue sur la lune pour les observer les pieds sur terre, sans s'enflammer comme mon ex lorsque j'enlevais mes sous-vêtements.
La raison d'être de ce sujet : Le tipiak, à son boulot, a détecté un individu à probabilité élevée de douancétude du zébrage, et a conseillé de passer un bilan psychométrique. Problème : l'individu en question est suivi par un psychanalyste qui, dixit le patient "trouvait que l'individu était trop jeune pour passer des tests". Il a dont été demandé au tipiak de téléphoner au psychanalyste, et résultat des courses : "en fait la question de la précocité intellectuelle n'est pas ce qui est central [pour ce patient]" "en psychanalyse on s'occupe de la cause pour traiter le symptome, on ne s'attaque pas directement au symptome". (j'ai alors demandé si le HQI était un symptôme, on m'a répondu que non.)
....Et là le tipiak s'interroge : comment peut-on penser une chose pareille ? Comment savoir ce qu'on est peut ne pas "être central" ? Comment ne pas prendre en compte les particularités d'un HPI du quotient dans une psychothérapie, quelle qu'elle fusse?
Est-il vraiment indispensable finalement que ces tests soient faits, ou bien vaut-il mieux tout mettre sur le compte d'une problématique de [insert something here] ?
Le fait de considérer l'accès à un diagnostic psychométrique est-il généralement fondamental, ou bien reflète-t-il simplement les préoccupations personnelles du tipiak ?
En clair, j'ai besoin de comprendre le raisonnement psychanalytique sus-mentionné pour me faire un avis sur celui de la psychanalyste : le patient est-il entre de bonnes mains compétentes, ou entre les griffes d'un obscur gourou analphabète?
Donc là l'idée, si vous avez suivi, ça serait de retrouver les arguments justifiant que savoir qu'on est surdoué n'est pas indispensable si c'est autre chose qui nous rend malheureux.
D'avance, mesure et merci