Tamiri a écrit : ↑mer. 21 févr. 2018 22:55
Je suis loin d’être un littéraire au analytique du terme et ne maîtrise absolument rien des attendus théoriques et esthétiques du surréalisme proprement dit.
Rassure-toi ( ou pas
), j'en suis bien loin aussi... C'est un point de vue éminemment subjectif, à l'aune de ma propre sensibilité qui s'est senti largement touchée ( pour ne pas dire violée
) lorsque j'ai rencontré ( tardivement bien que y'a longtemps maintenant ) artistiquement le surréalisme et le
Manifeste dans la foulée en particulier ^^
Tamiri a écrit : ↑mer. 21 févr. 2018 22:55
Sauf à faire appel à une analyse allant au delà du formel, et que je ne maîtrise pas, il me semble qu’on ne rattache Bunuel que pour « L’Âge d’or » et « Un chien andalou ».
Je ne pensais pas forcément à ceux de ses films les plus (re)connus pour cela, mais beaucoup à
Le fantôme de la liberté qui pour moi ( warning: subjectivity inside ! ) résonne avec ce que j'ai entendu de ma lecture fatalement très personnelle du
Manifeste
Tamiri a écrit : ↑mer. 21 févr. 2018 22:55
Le court-métrage « Destino » entrepris par Disney et Dalí a été commencé bien après que ce dernier a rompu avec le mouvement.
Arf...
encore une lacune à combler
M'enfin, c'est particulièrement à Dali que je pensais en évoquant ceux qui "étaient désignés en fer de lance"...
Mais si le mouvement en lui même n'est pas sans faire vibrer ma propre longueur d'onde, que mon "truc" c'est le dessin à l'origine et l'image en général, je dois avouer que l'oeuvre de Dalí n'est pas celle qui me fait vibrer le plus, loin s'en faut : c'est donc particulièrement à lui que je pensais aussi en parlant de "pas tout à fait issu de la même veine"...
Tamiri a écrit : ↑mer. 21 févr. 2018 22:55
Je ne sais pas si on peut y mettre Germaine Dulac.
Le nom ne m'est pas inconnu, mais je dois bien avouer ne plus situer