Si vous pouviez repartir 15 ans en arrière, mais avec vos connaissances d'aujourd'hui. Le feriez-vous ?

[aiekick]

J'ai fait un rêve cette nuit, je me voyais 15 ans en arrière dans mon corps, mais avec mes connaissances d'aujourd'hui.
Je ne me souviens plus de ce que j'ai fait dans ce rêve, mais je me suis réveillé avec cette question : si je pouvais, est-ce que je le ferais ?
Je me suis dit que ce serait une question intéressante à poser sur ce forum.

Ainsi, j'en pose le cadre ; les hypothèses de travail sont :
- Voyage dans le temps, 15 ans en arrière.
- « Téléportation » dans votre cerveau et votre corps de l'époque
- Accès a la mémoire de l'époque (il ne s'agit pas non plus de ne plus savoir ce qu'on allait faire le lendemain )
- Considérez que ce qui s'est passé dans le passé va se répéter. Ainsi, vous êtes le/la seule à pouvoir changer le cours des choses. C.-à-d., ne peut changer que ce que vous influencez d'une manière ou d'une autre.
- Pas de théorie du chaos ici, on oubliera volontiers le coup du papillon qui bat des ailes en Colombie et qui provoque un ouragan, a la réunion.

Les questions sont :

L'auriez-vous fait ?
Pourquoi ?

Dans mon cas, je suis partagé.

D'un côté, je pourrais sans doute améliorer ma santé en prenant les bonnes habitudes de vie
En revanche, je n'ai pas la certitude que l'issue de ce que je pourrais changer sera positive, même si je suis mieux armé mentalement maintenant qu'il y a 15 ans pour y faire face.

Il y a les succès et les échecs. (Bien qu'un échec est souvent un succès qui s'ignore)

Je serais tenté de refaire une multitude de choses qui ont été couronnés de succès, mais est-ce que j'aurais la force (motivation/combattivité) de faire pareil en connaissant à l'avance le résultat ?
De l'autre, je serais tenté d'éviter de refaire les choses qui ont été des échecs cuisants, mais qui m'ont permis de changer intérieurement.

On sait ce que l'on a seulement quand on le perd

[FéeNyx]

Vu les problèmes – de santé, notamment – que je rencontre actuellement (et depuis plusieurs années), je pense (présentement) que oui.

Il y a environ 15 ans, je commençais mes études supérieures, mes études de droit. Si c’était à refaire, je pense que j'emprunterais la même voie, mais que j’essaierais de me ménager davantage, de trouver un juste milieu et de faire plus attention à ma santé. Toutefois, ce sont plus les (certains, du moins) choix que j’ai faits à la fin de mes études et au cours des années suivantes que j’essaierais de ne pas réitérer. Reste que je n’aurais probablement pas fait les choix en question (certains étaient sans doute nécessaires au moment M) si les années précédentes s’étaient déroulées différemment. Je ne savais pas tout et je ne pouvais pas tout maîtriser, de toute façon... J’ai fait ce que j’ai pu, dans l’état dans lequel j’étais. Et tout n'est pas de ma faute.

Quoi qu’il en soit, avec des « si », on referait le monde ; ce qui est fait est fait, l’on ne peut pas changer le passé. Je me répète d’ailleurs assez souvent cette phrase, car j’ai tendance à trop ruminer et ressasser le passé, et à « m'autoflageller ».


« On sait ce que l'on a seulement quand on le perd » : Cela, je n’en suis pas certaine... Beaucoup d’individus disent cela dans le cadre d’une rupture amoureuse, par exemple. Ce n’est pas mon cas.

[homer]

En ce qui me concerne mes choix les plus importants d'il y a 15 ans me paraissent toujours souhaitables avec le recul donc pour faire vite ma réponse est oui !

[Pascalita]

Je n'arrive pas bien à me situer dans cette hypothèse de travail : on a les connaissances d'aujourd'hui mais seulement la mémoire de l'époque. Quelles connaissances alors, si elles ne sont pas contenues dans notre mémoire ?

Mais je vais partir ainsi pour considérer la question : je n'ai jamais pris mes décisions à pile ou face, j'ai toujours réfléchi (beaucoup, trop, beaucoup trop ). Partant de là, je reprendrais forcément exactement les mêmes décisions, à situation constante ; pourtant, il y a des choix faits il y a quinze ans dont j'ai pensé par la suite qu'ils avaient été des erreurs. Mais ça n'avance à rien, de penser ça, parce que ce choix a été fait et on ne peut pas revenir en arrière. En continuant à aller de l'avant, on peut faire d'autres choix pour revenir dans un sens ou une situation qui vont mieux, mais parler d'erreur est un blocage.

Donc en fait, je n'arrive pas à me projeter dans la question que tu poses.

Je trouve, par contre, très intéressant de réfléchir à ta dernière phrase :

On sait ce que l'on a seulement quand on le perd

C'est un aphorisme que l'on entend souvent, mais je ne pense pas que ça soit juste. En tout cas, je ne pense pas que ce soit irrémédiable : si on prend conscience de ce qu'on a quand on l'a, je pense qu'il n'y a pas cette notion de regret ou de fatalité. Et je pense qu'on peut avoir conscience de ce qu'on a avant de l'avoir perdu.

[aiekick]

J'ai sans doute mal expliqué, mais dans mon hypothèses on a accès à la mémoire de l'époque (genre mémoire court/moyen terme pour pas être perdu dans l'époque d'il y a 15 ans), mais avec ce que l'on sait aujourd'hui, donc mémoire d'aujourd'hui, souvenir des échecs/succès.

C'est d'ailleurs pour ca que je dit que je ne sais pas si je voudrais refaire les même choses qui ont été positive en connaissant le dénouement donc sans ou avec moins de surprise.

Parce qu'il y a d'une part les changements que ca a provoqué chez moi et de l'autre ce que je suis pour les autres.
Si j'ai fait quelque chose qui m'a valu d'avoir un poste par exemple, je voudrais le conserver pour plus tard ou aller plus loin ce qui implique de refaire certaines choses avec la lassitude probable qu'il y ait moins de surprise ou de challenge, et du coup, que l'issue soit moins ou plus un succès que la 1ere fois.

Et pour l'aphorisme, je le trouve assez juste par rapport à mon vécu.
Mais plutôt écris comme ca : On sait ce que l'on avais seulement quand on l'a perdu.
En tout cas ca me l'a fait une fois avec beaucoup d'intensité quand je l'ai réalisé.
Depuis c'est moins vrai car j'arrive de plus en plus à simuler dans une certaine mesure l'absence d'une chose et à en ressentir les conséquences, mais sans être certain d'en ressentir tous les manques.
Comment être conscient de mes inconsciences ?

[lady space]

Je ne le ferais pas, tout simplement parce que je ne vois pas l'intérêt de se poser cette question, étant donné l'impossibilité de revenir dans le passé et le fait que le temps et l'énergie dont on dispose sont limités.

Donc faire une rétrospective pour comprendre mes décisions passées et leurs effets, histoire de ne pas reproduire d'éventuelles erreurs : oui, bien sûr. Mais investir du temps et de l'énergie en pure perte pour spéculer sur ce qui aurait pu être au lieu de vivre le présent en profitant des leçons que la vie m'a apportées : certainement pas. La vie se passe dans l'ici et maintenant, pas dans le passé ni dans le futur, bien qu'il faille anticiper ce dernier un minimum.

Pareil pour ton aphorisme : il symbolise juste le fait que, à force de ne pas vivre le présent en conscience, on passe à côté de choses précieuses. Et c'est cela que l'on comprend parfois trop tard.

[aiekick]

Je ne comprends pas bien.
Si j'ai bien compris, tu justifie ta réponse en arguant que ce n'est pas possible.
L'hypothèse de travail le rend possible

[lady space]

Je refuse juste de passer du temps à réfléchir sur des hypothèses pour le simple plaisir de réfléchir sur des hypothèses. Tout comme je ne réfléchirais pas à ce qui se passerait si la terre était plate et que je passerais par-dessus bord.

Je cherche à passer mon temps sur des choses constructives et le fait d'appeler ça une hypothèse de travail ne rend pas cette réflexion plus utile à mes yeux. Ça reste de la spéculation qui risque plus d'apporter des ruminations nourries par des "et si..." que de la clarté propice pour avancer.

[aiekick]

Si tu ne veux pas te prêter au jeu, pourquoi y répondre ? J'oblige personne.

[Douteur]

Dans ton énoncé, tu précises : Le feriez-vous ?
Ça peut donc être oui, ou non.

[aiekick]

Oui, mais répondre oui ou non dans le cadre du jeu.
Si ceux qui ne veulent pas se projeter interviennent ; à quoi ça peut servir ?

Si tu réponds à la question du jeu, mais que tu dis que le jeu ne sert à rien, Pourquoi y répondre ?
Il vaut mieux ne pas y jouer, donc ne pas répondre à la question.

ps : je viens de comprendre ce que représente un surdoué. Il faut être ultra précis dans tout mille façons de retourner le truc haha

[Douteur]

A quoi sert de poser une question si l'on n'accepte pas les réponses ?
Encore une fois, tu fais des généralisations sur les surdoués, personnellement la neuropsy chez qui j'ai passé le test, n'a pas été en mesure d'affirmer, présence ou absence de HPI.

[FéeNyx]

À mes yeux, « je ne retournerais pas dans le passé – "avec mes connaissances d’aujourd’hui" (pour essayer de changer certaines choses ou que sais-je encore) – si je le pouvais » est différent de « je refuse de me poser la question qui consiste à savoir si je retournerais dans le passé ("avec mes connaissances d’aujourd’hui") si je le pouvais ».

Reste que dans tous les cas, on ne le peut pas, dans les faits. ^^ Et, oui, « ruminer et ressasser le passé » n'aide pas forcément à avancer...

Un morceau de musique me vient en tête : Hiro.

[lady space]

Tu as raison @aiekick : ce que je ne ferai pas c'est jouer à ton jeu parce que je trouve qu'il ne mène nulle part. Et ce n'est pas forcément dû à ma surdouitude mais plutôt au fait que je préfère utiliser mon temps et mon énergie pour faire avancer des choses. (Ou peut-être que j'ai une conscience accrue de ma finitude et j'essaie donc d'utiliser mon temps à bon escient parce que je suis surdouée ? Va savoir...)

[aiekick]

@Douteur Non mais c'est quand même incroyable..
La réponse n'apportait rien, elle était hors sujet.
Ça ne me gêne que vous soyez pour ou contre si vous jouez le jeu, et alors, acceptez de composer avec les hypothèses.
Si je pose une question en rapport avec des hypothèses, à quoi ça sert de répondre à cette question si tu refuses les hypothèses.
Tu te vois jouer au scrabble avec quelqu'un qui veut jouer avec 8 lettres au lieu de 7 ? Non ! Si tu ne respectes pas la règle, tu ne joues pas.

Et, en l'occurrence, ce sont vos généralités, cf. : viewtopic.php?t=6368

@FéeNyx factuellement la science n'a pas prouvé qu'on pouvait, mais ça ne veut pas dire qu'on ne pourra jamais.

Je trouvais la question intéressante, sans présumer de savoir si ça servait à quelque chose ou pas.
Le fait que certains aient autre chose à faire, ou pense que ce n'est pas bien, car ça fait ressasser le passé, je peux l'entendre et le comprendre, mais je trouve dommage de ne pas vouloir voir ce qu'il peut y avoir derrière ou indirectement associé à la question.

Une question peut avoir différent prisme de lecture, finalement, on est dans la partie philosophique.
Alors c'est certain que les réponses du style "on s'en moque de ta question parce que ça sert à rien", je ne m'attendais pas l'avoir sur ce forum.

[FéeNyx]

@FéeNyx factuellement la science n'a pas prouvé qu'on pouvait, mais ca ne veut pas dire qu'on ne pourra jamais.

Ma phrase était conjuguée au présent de l'indicatif. Je voulais donc dire « pour le moment / en l'état actuel des choses », qui était sous-entendu. En outre, ta question initiale faisait référence à « nos connaissances d’aujourd’hui ».

Je trouvait la question intéressante, sans présumer de savoir si ca servait à quelque chose ou pas.
Le fait que certains ait autre chose à faire, ou pense que c'est pas bien car ça fait ressasser le passé, je peux l'entendre et le comprendre, mais je trouve dommage de pas vouloir voir ce qu'il peut y avoir derrière ou indirectement associé à la question.

Je n'ai jamais dit, ni sous-entendu, que ta question initiale était inintéressante. Pour ma part, j'ai bien pris le soin d'y répondre, non ? Cf. mon premier message sur ce fil. J'ai simplement tenu à ajouter ceci à la fin de ma réponse : « Quoi qu’il en soit, avec des « si », on referait le monde ; ce qui est fait est fait, l’on ne peut pas changer le passé. Je me répète d’ailleurs assez souvent cette phrase, car j’ai tendance à trop ruminer et ressasser le passé, et à « m'autoflageller ». » Il ne faut pas oublier que ta question initiale avait un aspect « personnel », un tantinet « intime », car pour y répondre, il fallait préalablement réfléchir à sa vie personnelle, considérer ses connaissances actuelles, etc. Or, ma réflexion personnelle m'a conduite à envisager ce point-là ; je n'ai pas pu m'empêcher d'y penser. Selon moi, cela peut d'ailleurs représenter l'une des choses qui peuvent être « indirectement associées à la question » initiale.

[lady space]

Justement, tu as publié ton post dans la section "Questions philosophiques et débats de société". Du coup, le côté jeu m'a échappé parce qu'il n'est pas à sa place ici. On s'y attend à quelque chose de moins superficiel. Ce qui fait qu'il n'est pas du tout incroyable de se poser la question de la pertinence de l'hypothèse de départ. C'est comme ça qu'on mène une réflexion rigoureuse en fait.

Puis, je t'invite à te relire sérieusement avant d'appuyer sur "envoyer" dorénavant, et ceci en utilisant scribens car ton correcteur n'est visiblement pas très efficace, sachant que le mot "généralisées" n'a juste aucun sens ici. Ce n'est même pas du phonétique pour "généralités".

D'ailleurs, le fil que tu mets en lien regroupe non pas des généralités mais des caractéristiques que nous ne partageons pas tous, mais qui se retrouvent aussi chez des gens non surdoués. En fait, les humains ne sont pas binaires, soit ceci soit cela. On peut très bien être un peu des deux ou rien des deux ou encore complètement autre chose. Voire tout ça et bien plus en même temps.

[InMedio]

Pour ajouter moi aussi mon grain de sel, car on est quand même dans la section des débats philosophiques : Le problème de la flèche du temps est éminemment complexe sur plusieurs niveaux de réflexion.

Il n'est en l'occurence pas du tout simple de supposer que nos connaissances d'aujourd'hui ne sont pas la conséquence de nos expériences passées (c'est une supposition nécessaire si on veut revenir dans le passé sans mettre les effets avant les causes).
Pour tenter de résoudre ça, je peux inventer une machine qui saurait télécharger mes connaissances actuelles pour les mettre dans mon moi d'il y a 15 ans. Il ressentirait alors exactement ce que ressent Neo dans Matrix quand il apprend le kung-fu par téléchargement : tout d'un coup il s'en rend compte : il connait le kung-fu.

Bien sûr on suppose qu'on est tous capables de retourner en 2010. Si on le fait à la mode Retour vers le Futur, ça ouvre normalement une autre continuité temporelle :
- le premier moi de 2010 n'a jamais vu personne revenir dans le passé, il n'aura pas les connaissances que j'ai aujourd'hui avant... bah aujourd'hui.
- le deuxième moi de 2010 vient de voir quelqu'un débarquer pour lui télécharger des trucs dans la tête et va vivre 15 ans comme ça jusqu'à aujourd'hui, et ça le rendra différent du premier, indéniablement.
Je ne vois pas d'autre manière d'éviter les absurdités spatio-temporelles comme les boucles et les situations impossibles.


Au regard de tout ça, je pense que je le ferais juste pour m'implémenter gratuitement 15 ans d'expérience de vie et revivre un tas de choses que j'ai déjà vécues, bonnes ou mauvaises... et si je pouvais me coincer deux trois cent fois dans une boucle comme ça je le ferais.
Mais ça doit être mon expérience de joueur de jeux vidéos. La première vie est nulle, la dernière est magistrale. Entre les deux... tant de temps d'apprentissage...

[papy-olivier]

Tiens, pour le jeu, oui, je pense que je le ferais, pour une seule bonne et simple raison.
Il y a 15 ans, je ne savais pas comment je suis, et ca m'aurait probablement évité un burn-out, m'aurais permis de gérer tout un tas de situations (professionnelles notamment) que j'ai pris de face, à cause de ma particularité ... ou pas

[Douteur]

D'ailleurs, le fil que tu mets en lien regroupe non pas des généralités mais des caractéristiques que nous ne partageons pas tous, mais qui se retrouvent aussi chez des gens non surdoués. En fait, les humains ne sont pas binaires, soit ceci soit cela. On peut très bien être un peu des deux ou rien des deux ou encore complètement autre chose. Voire tout ça et bien plus en même temps.

Finalement, nous en revenons à notre sempiternel : Ça dépend...

[aiekick]

@FéeNyx Oui oui, tu as tout fait, jouée le "jeu". Je ne te reproche rien, bien au contraire
Le paragraphe après ta mention sur le truc du temps ne te visait pas en particulier

@lady space, j'ai dit "jeu", j'aurais très bien pu dire "Expérience de pensée" ou autre… T'en est vraiment au point de jouer sur les mots ..
Tu es quand même la personne qui a pris le temps de me répondre x fois que tu avais autre chose à faire de mieux que de jouer le "jeu". Assez paradoxal, je me demande si ton but n'était pas tous autre finalement ..
Il se trouve que ou boulot, nous ne pouvons pas installer d'extensions. Ainsi, j'attendais le soir pour corriger mes posts de la journée..
Mais, finalement, tu trouves que "taper" est plus simple que d'être intéressant et constructif sans doute.
La forme avant le fond hein. Un vrai troll de twitter..

J'aurais dû garder le "Si" de mon titre.
Je pensais que mon énoncé suffirait à faire comprendre qu'il y avait un "Si" dans la question.

Bref, je n'ai semble-t-il pas ma place ici non plus.
Libre à vous d'effacer ceux de mes topics qui n'apportent / servent à rien sur le forum.
Le Con, vous dit au revoir. Cependant, Merci à ceux qui ont joué à l'expérience de pensée. Au plaisir..

[FéeNyx]

Mais non... C'est triste...

Pour essayer de détendre l’atmosphère : https://youtu.be/EKc7F8a0ymU?t=290.
(Celui relatif à la noix de coco est également rigolo. ^^)

[Phil21]

Finalement, nous en revenons à notre sempiternel : Ça dépend...

J'allais écrire "pour certaines choses oui, pour d'autres carrément non"... c'est vrai que "ça dépend" c'est plus court

[Douteur]

Finalement, nous en revenons à notre sempiternel : Ça dépend...

J'allais écrire "pour certaines choses oui, pour d'autres carrément non"... c'est vrai que "ça dépend" c'est plus court

Le "Ça dépend "est un classique du forum, personnellement, il me fait parfois peur et me donne le vertige.
D'un autre côté, il me rassure, il a l'avantage de laisser ouvert le champ des possibles.

[Phil21]

Le "Ça dépend "est un classique du forum, personnellement, il me fait parfois peur et me donne le vertige.
D'un autre côté, il me rassure, il a l'avantage de laisser ouvert le champ des possibles.

Il me terrifie aussi, surtout quand je comprends que mon auditoire attend une réponse en noir ou blanc et pas autrement