C'est car il y a déjà eu des remarques sur l'utilisation du terme femelle, qui avait été utilisé/compris de manière péjorative dans ce topic même. Et il y avait eu un post "final" sur le sujet.Grabote a écrit :Pour le terme "mâle" y'a pas besoin de le préciser ? pourquoi ? parce qu'il aurait plutôt une connotation positive ???
Donc j'ai précisé.Cyrano a écrit :Au-delà de la signification intrinsèque des termes employés, il y a leur connotation, qui s'est formée au fil de l'histoire de la langue.Joebar a écrit :la virilité autorise néanmoins d'utiliser le terme "mâle" pour définir l'homme
Les anglo-saxons utilisent les termes "male" and "female", mais comme une description technique du genre.
Une "femelle" dans la langue française est clairement péjoratif quand on désigne une femme. Ce qui n'est point vrai pour l'homme et son qualificatif de mâle, qui renvoie une image...virile justement.
Je comprends. Mais j'en profite, et j'espère que tu ne le prendras pas mal, que c'est précisement ce genre de remarques qui font que beaucoup de débats sur des sujets qui au fond pourraient m'intéresser, me saoulent profondément. A force de relever le moindre petit détail alors qu'il y a déjà tellement de fond, structurant à résoudre.Grabote a écrit :J'te taquine un peu Bradeck, mais c'est gentiment.
Et c'est pareil au boulot, en politique, quasiment dans tout en fait, on utilise des détails pour tenter de faire passer un message, mais cela revient au mieux à être superficiel, au pire à être conte-productif, quand ce n'est en fait fait exprès pour faire déflecteur et détourner l'attention des vrais problèmes. On focalise sur les détails alors que les finitions, par définition, c'est à la fin non ?
Point du tout, point d'adrénaline de mon côté, ni de stress. J'ai pris par contre énormément de gants car ta question portait explicitement sur les trans. Hors, je pense que la question du transgenre est extrêmement complexe, que le parcour pour qu'une personne passe à l'acte est extrêmement difficile, pour plein de raison, mais je reste persuadé que même si la société n'avait aucun stigmate conceptuel par rapport à cela, pour la personne concernée, cela ne doit pas être simple. Donc le résumer une histoire telle en une seule phrase me semblait léger, voir réducteur.Chacoucas a écrit :Bon quand même pour mettre les choses au clair, j'ai l'impression que tu as eu peur un instant d'être attaqué par un chienne de garde...
Moi j'ai tendance à inverser la proposition : J'ai de l'énergie à revendre. Quand j'ai un trop plein, si je ne fait rien, elle se retrouve canaliser dans de l'agressivité (ce qui en soit n'est certainement pas le cas de tout le monde). Et toi, pour la canaliser, tu as trouvé le sport. Et passé la trentaire, la sagesseChacoucas a écrit :Je peux aussi dire que si je fais du sport et que je suis musclé, j'ai une énergie qui demande canalisation sinon ça se change en agressivité facilement. C'était le cas plus jeune, ça se calme à la 30aine.
J'ai parlé du sport uniquement par rapport au dimorphisme. Avant de l'écire ici, j'ai été vérifier les résultats de différentes disciplines sportive, faisant appel en grande partie aux capacités physiques, je me suis donc focalisé sur l'athlétisme. Les records du monde laissent voir une différence.
Puis j'ai regardé rapidement des études de médecines sportives. Il y a une différence biologique, point. (Je pense aussi que sociétalement, on exagère ces differences, mais elles existent à la base)
Loin de moi l'idée de dire que cela doit donc entrainer que toutes les disciplines ne soient pas mixte, mais qu'au moins pour certaine, c'est vrai, car c'est une réalité biologique, point.
Mais bon, j'aurai du mal à entendre que si les hommes sont plus rapide au 100m c'est uniquement parce que petit on leur a dit qu'il pouvaient courir plus vite....
Non seulement je ne pense pas avoir écrit le contraire, mais même plutôt dit que j'était d'accord...Chacoucas a écrit :Mais je ne pense pas que ça concerne "le sport" (éventuellement certains types de sport) je pense que c'est justement plutôt une conséquence de l'éducation genrée "la fille elle est mimi et elle aime le rose, attention te salis pas on dirait un garçon" "ah lala, mais quel garçon manqué, tu veux finir vieille fille ou quoi? personne va t'aimer" etc. Et on voit bien que c'est une influence qui dépasse largement l'influence de la cellule familiale, c'est tout à fait sociétal comme truc.