Elaïs a écrit :Pas lu livre, mais j'ai bien pleuré sur le film
Si tu lis le livre, tu me diras.
Le style d'Adam me met très mal à l'aise.
Elaïs a écrit :Pas lu livre, mais j'ai bien pleuré sur le film
J'ai décidé de vous le partager car, je me sens proche du protagoniste. Je n'ai pas fini le livre, et je ne pense pas qu'un quelconque lien à la douance existe dans ce livre, mais, son rapport à la solitude, sa façon d'examiner ce qu'il vit, ce qu'il ressent, de faire, en quelque sorte, le bilan. Tout ça fait que, j'ai envie de vous le conseiller.Quatrième de couverture :
"Maxwell Sim est un loser de quarante-huit ans. Voué à l'échec dès sa naissance (qui ne fut pas désirée), poursuivi par l'échec à l'âge adulte (sa femme le quitte, sa fille rit doucement de lui), il s'accepte tel qu'il est et trouve même certaine satisfaction à son état.
Mais voilà qu'une proposition inattendue lui fait traverser l'Angleterre au volant d'une Toyota hybride, nantie d'un GPS à la voix bouleversante dont, à force de solitude, il va tomber amoureux. Son équipée de commis-voyageur, représentant en brosses à dents dernier cri, le ramène parmi les paysages et les visages de son enfance, notamment auprès de son père sur lequel il fait d'étranges découvertes : le roman est aussi un jeu de piste relancé par la réapparition de lettres, journaux, manuscrits qui introduisent autant d'éléments nouveaux à verser au dossier du passé. Et toujours Max pense à la femme chinoise et à sa fille, aperçues dans un restaurant en Australie, dont l'entente et le bonheur d'être ensemble l'ont tant fasciné. Va-t-il les retrouver ? Et pour quelle nouvelle aventure ?"
Captivant.Un groupe d'élite, formé dès l'enfance à faire face, part des confins d'une terre féroce, saignée de rafales, pour aller chercher l'origine du vent. Ils sont vingt-trois, un bloc, un nœud de courage : la Horde. Ils sont pilier, ailier, traceur, aéromaître et géomaître, feuleuse et sourcière, troubadour et scribe. Ils traversent leur monde debout, à pied, en quête d'un Extrême-Amont qui fuit devant eux comme un horizon fou..
Vouui ! L'une des meilleures choses que j'ai lues dans le domaine de l'imaginaire (avé de la philosophie dedans) depuis longtemps !Ted a écrit :La Horde du Contrevent, de Alain Damasio.
Captivant.Un groupe d'élite, formé dès l'enfance à faire face, part des confins d'une terre féroce, saignée de rafales, pour aller chercher l'origine du vent. Ils sont vingt-trois, un bloc, un nœud de courage : la Horde. Ils sont pilier, ailier, traceur, aéromaître et géomaître, feuleuse et sourcière, troubadour et scribe. Ils traversent leur monde debout, à pied, en quête d'un Extrême-Amont qui fuit devant eux comme un horizon fou..
Tu pourrais nous en dire un peu plus ? "Univers poétique", ça me parle bien, mais j'aurais besoin de quelques détails ou d'un tableau un peu plus précis...Steph a écrit :Ces dernières semaines j'ai également lu les 2 volets des aventures de Karitas de Kristín Marja Baldursdóttir, vraiment très chouette.
Mais surtout, j'ai savouré la trilogie de Jón Kalman Stefánsson, Entre ciel et terre, La Tristesse des anges et Le Cœur de l'homme. Magnifique! Je flotte encore dans cet univers poétique. Il m'arrive d'ouvrir à nouveau un des trois livres pour revenir sur certains passages. C'est... beau.
(et lire Stefánsson en écoutant Sigur Ros ou Olafur Arnalds..alors là..wouaw)
Jon Kalman Stefansson nous entraîne dans l'Islande de la fin du XIX siècle, un univers rude qui ne fait pas bon ménage avec la rêverie et où les mots sont précieux. « Il est des poèmes qui changent votre journée, votre nuit, votre vie. Il en est qui vous mènent à l'oubli, vous oubliez votre tristesse, votre désespoir, votre vareuse, le froid s'approche de vous : touché ! Dit-il et vous voilà mort. »Kayeza a écrit :Tu pourrais nous en dire un peu plus ? "Univers poétique", ça me parle bien, mais j'aurais besoin de quelques détails ou d'un tableau un peu plus précis...Steph a écrit :Ces dernières semaines j'ai également lu les 2 volets des aventures de Karitas de Kristín Marja Baldursdóttir, vraiment très chouette.
Mais surtout, j'ai savouré la trilogie de Jón Kalman Stefánsson, Entre ciel et terre, La Tristesse des anges et Le Cœur de l'homme. Magnifique! Je flotte encore dans cet univers poétique. Il m'arrive d'ouvrir à nouveau un des trois livres pour revenir sur certains passages. C'est... beau.
(et lire Stefánsson en écoutant Sigur Ros ou Olafur Arnalds..alors là..wouaw)
Je viens de le commencer (en français) ... space de chez spaceKayeza a écrit :
[*]je viens de recevoir House of leaves, dont nous avons déjà parlé par ailleurs. C'est un méga pavé, qui a l'air complètement barré et qu'il me tarde de pouvoir attaquer.
Merci pour tes indications, Steph.Steph a écrit : Mais surtout, j'ai savouré la trilogie de Jón Kalman Stefánsson, Entre ciel et terre, La Tristesse des anges et Le Cœur de l'homme. Magnifique! Je flotte encore dans cet univers poétique. Il m'arrive d'ouvrir à nouveau un des trois livres pour revenir sur certains passages. C'est... beau.
En parlant d'optimiste, Alain Berenboom s'est vu décerner le prix Rossel hier pour son ouvrage "Monsieur optimiste". Le prix Rossel pour un Belge, c'est le Goncourt pour vous. C'était juste pour l'info. Je ne suis pas un fan des prix littéraires.Melvill a écrit :J'ai fini "le club des incorrigibles optimistes" de Jean-Michel Guenassia
Tu le trouves comment ? Moi je n'ai pas pu aller au-delà des premières pages...Steph a écrit :Je lis Les vagues de Virginia Woolf.
J'ai dû faire une pause. Je ne peux pas lire en ce moment pour cause d'emploi du temps surchargé. Le soir, je tombe.Doodle a écrit :Kan et Kayeza (concernant La maison de Feuilles / House of Leaves) :
Ah ça m'intéresse d'avoir votre ressenti pour comparer.
Vous verrez il commence a y avoir du suspense et ça devient très prenant.
Et puis après avoir lu le livre tout change et on s'amuse beaucoup avec.
Enfin, oui spécial, c'est le moins qu'on puisse dire. Mais ça vous étiez prévenus.
En fait l'auteur à beaucoup d'humour mais pas le personnage principal... ça fait un drôle de décalage parce c'est à travers lui qu'on découvre l'histoire.
Et bien, ça me fait le même effet que Proust, j'adore et je repousse. Je ne saurais pas expliquer vraiment...Je décroche par moment et pourtant cette écriture me touche profondément.Kayeza a écrit :Tu le trouves comment ? Moi je n'ai pas pu aller au-delà des premières pages...Steph a écrit :Je lis Les vagues de Virginia Woolf.