douance au travail : un syndrome des devoirs finis ?
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douance au travail : un syndrome des devoirs finis ?
Je relance un topic sur le travail (l'autre est dans Divan, un peu trop perso...)
J'ai constaté dans mon propre rapport au travail, une certaine propension à vouloir aller vite (ça a viré parfois à du travalcoolisme par moments), à en finir, à boucler; je déteste les dossiers qui sont en attente, auxquels je ne peux pas m'attaquer tout de suite,
Et je me suis rendu compte que je percevais mon travail comme autrefois, les devoirs à l'école : si on finit vite, on a fini-fini, on peut aller jouer, enfin, on est libre quoi !
Seulement, au boulot, ça ne marche pas, si on va plus vite, soit on se voit confier plus de boulot, soit, s'il n'y en a pas, on a juste gagné le droit de se faire chier...
Est-ce que vous avez constaté vous aussi avoir une approche du même genre ?
J'ai constaté dans mon propre rapport au travail, une certaine propension à vouloir aller vite (ça a viré parfois à du travalcoolisme par moments), à en finir, à boucler; je déteste les dossiers qui sont en attente, auxquels je ne peux pas m'attaquer tout de suite,
Et je me suis rendu compte que je percevais mon travail comme autrefois, les devoirs à l'école : si on finit vite, on a fini-fini, on peut aller jouer, enfin, on est libre quoi !
Seulement, au boulot, ça ne marche pas, si on va plus vite, soit on se voit confier plus de boulot, soit, s'il n'y en a pas, on a juste gagné le droit de se faire chier...
Est-ce que vous avez constaté vous aussi avoir une approche du même genre ?
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Je vais faire court, pour une fois.
Au travail, je m'ennuie longtemps et repousse à plus tard.
Et fais très vite ensuite.
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Moi aussi j'ai gardé la meme approche que les devoirs à l'école: j'attends le dernier moment et je procrastine à mort!
Cela dit je le fais moins tout simplement parce qu'on travaille moins seul et qu'on a plus de comptes à rendre.
A mon avis, on modifie pas comme ça un fonctionnement (angoisse qui conduit soit à la volonté de ne plus en entendre parler parce que c'est terminé, soit à l'évitement autant que possible...
Cela dit je le fais moins tout simplement parce qu'on travaille moins seul et qu'on a plus de comptes à rendre.
A mon avis, on modifie pas comme ça un fonctionnement (angoisse qui conduit soit à la volonté de ne plus en entendre parler parce que c'est terminé, soit à l'évitement autant que possible...
- sourizeante
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Je fonctionne exactement pareil. Je suis beaucoup plus efficace si les échéances sont super courtes ou s'il y a une sensation d'urgence.TourneLune a écrit :Moi aussi j'ai gardé la meme approche que les devoirs à l'école: j'attends le dernier moment et je procrastine à mort!
Cela dit je le fais moins tout simplement parce qu'on travaille moins seul et qu'on a plus de comptes à rendre.
A mon avis, on modifie pas comme ça un fonctionnement (angoisse qui conduit soit à la volonté de ne plus en entendre parler parce que c'est terminé, soit à l'évitement autant que possible...
Ca fait de moi la reine des situations de crises, mais une grosse nullarde dans la planification long terme.
J'ai découvert assez tot l'interet de ne pas trop vite dire que le job est fait : j'ai fait des petits boulots de mise sous enveloppe. C'est alienant, penible et sans interet. 1500 enveloppes minimum à remplir par jour.
Journée de 8 heures, 10 mn de pause le matin, 40 mn pour manger.
Le soir, bilan des boites vides, avec mise en concurrence de deux equipes d'interimaires (dont moi) soumis à l'autorité débordante de deux charmantes contremaitres.
Mes 1500 enveloppes, je les finissais bien une demi heure avant les autres (un peu de méthode dans le pliage et le classement des docs à inserer...). Le premier jour j'en ai fait 40 de plus. resultat : nouvelle objectif de 1550 pour tout le monde. Avec menace de fin de contrat pour les moins performants
Le lendemain, j'ai fait mes 1550 enveloppes et j'ai discretement aidé les autres à finir les leurs...
(Oui, je sais, ça fait un peu "Sourizeante, défenseur de l'interimaire opprimé", mais un peu d'auto-satisfaction, parfois, c'est salutaire).
Bref, j'ai appris qu'il ne fallait pas trop montrer ses facilités, sous peine de créer des déséquilibres et/ou des jalousies.
Toujours dans les temps, mais jamais en avance et jamais la premiere.
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
C'est pas vraiment être défenseur des opprimés, c'est s'adapter à une gestion des objectifs qui n'a aucun intérêt pour celui à qui elle s'applique, voire un peu stupide vu qu'elle aboutit à te faire réduire la cadence.
Bref mise en place d'un système gagnant gagnant sauf pour celui qui impose des contraintes sans réfléchir à l'impact ...
Toi tu n'en as pas 1700 à faire au bout de 2 jours et qui plus tu as des amis au lieu d'avoir des ennemis
Bref mise en place d'un système gagnant gagnant sauf pour celui qui impose des contraintes sans réfléchir à l'impact ...
Toi tu n'en as pas 1700 à faire au bout de 2 jours et qui plus tu as des amis au lieu d'avoir des ennemis
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Je ne sais pas si c'est "l'angoisse qui conduit à la volonté de ne plus en entendre parler". Il est clair que depuis les prodromes du harcèlement vécu il y a quelques années, je suis beaucoup plus organisé, mais par anxiété : me trouvant face à quelqu'un qui cherchait à me prendre en défaut, c'était une stratégie de défense. Mais ce n'est pas ce moteur-là qui est à l'oeuvre dans l'envie de "finir les devoirs plus tôt", c'est un autre câble d'une autre couleur qui tire. C'est vraiment "finir le chiant pour avoir un maximum de temps à soi".A mon avis, on modifie pas comme ça un fonctionnement (angoisse qui conduit soit à la volonté de ne plus en entendre parler parce que c'est terminé, soit à l'évitement autant que possible...
Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Est-ce que ce n'est pas une manière de repousser le temps que l'on souhaiterait se consacrer?
"L'homme est quelque chose de sacré pour l'homme." Sénèque
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Intéressant....Saul a écrit :Est-ce que ce n'est pas une manière de repousser le temps que l'on souhaiterait se consacrer?
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
En effet, mais dans mon enfance, je n'avais pas le choix : on faisait toujours les devoirs d'abord (d'une manière générale, "le désagréable" en premier, et le reste, après, s'il reste du temps).
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Moi je fais ça avec ce que j'ai dans mon assiette, je mange du moins bon au meilleur, genre je mange la pizza en commençant par le tour et je finis au milieu...
Avec le boulot je peux pas encore classer mes patients du plus pénible au plus cool et organiser ma semaine comme ça, mais c'est une idée tiens
Avec le boulot je peux pas encore classer mes patients du plus pénible au plus cool et organiser ma semaine comme ça, mais c'est une idée tiens
Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. E. de la Boétie
NB : Je ne réponds pas aux questions perso en mp, je manque cruellement de temps pour ça et déteste répondre aux gens à l'arrache. Donc... merci d'éviter
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Au boulot, je procrastine d'une force ...cela dit si la mission m’intéresse, je plancherai à fond, de façon parfois excessive si bien que je peux mettre 15 jours a faire un travail qui en théorie aurait pu me demander que 2 h (fignolage interminables). Toutefois, si on me confie une même mission alors que je n'en ai plus l’état d'esprit, je différerais à fond..pourtant, la solution serait que je m'y mette illico, en me faisant violence..
Sinon, je remarque que lorsque j'ai a mener plusieurs travaux en parallèle, je perds pied et panique même parfois..ne sachant pas comment m'organiser. Les angoisses me paralysent parfois au point de ne plus vouloir rien faire du tout.
Sinon, je suis raisonnablement efficace dans l'urgence bien que le temps de la procrastination est mine de rien une espèce de phase abstraite destinée à laisser les idées s’enchaîner dans mon esprit. Aussi, même si je ne fais rien concrètement, je fais marcher mon cerveau dès le départ à coup de petites connexions intellectuelles..
vous conviendrez que j'ai du mal à travailler en équipe, étant en défintive imprévisible pour les autres.
sinon, le pire ennemi de moi au travail, c'est moi avec une nouvelle lubie....Donc, le temps pour soi, passe avant...au grand dam de mon professionnalisme.
A part ça, à l'école, je fonctionnais à peu près pareil. Tout était fonction de l’intérêt que j'y voyais et du potentiel centre d’intérêt du moment..
Sinon, je remarque que lorsque j'ai a mener plusieurs travaux en parallèle, je perds pied et panique même parfois..ne sachant pas comment m'organiser. Les angoisses me paralysent parfois au point de ne plus vouloir rien faire du tout.
Sinon, je suis raisonnablement efficace dans l'urgence bien que le temps de la procrastination est mine de rien une espèce de phase abstraite destinée à laisser les idées s’enchaîner dans mon esprit. Aussi, même si je ne fais rien concrètement, je fais marcher mon cerveau dès le départ à coup de petites connexions intellectuelles..
vous conviendrez que j'ai du mal à travailler en équipe, étant en défintive imprévisible pour les autres.
sinon, le pire ennemi de moi au travail, c'est moi avec une nouvelle lubie....Donc, le temps pour soi, passe avant...au grand dam de mon professionnalisme.
A qui le dis tu???sourizeante a écrit : Bref, j'ai appris qu'il ne fallait pas trop montrer ses facilités, sous peine de créer des déséquilibres et/ou des jalousies. Toujours dans les temps, mais jamais en avance et jamais la premiere.
A part ça, à l'école, je fonctionnais à peu près pareil. Tout était fonction de l’intérêt que j'y voyais et du potentiel centre d’intérêt du moment..
Tout le monde peut se mettre en colère. Mais il est difficile de se mettre en colère pour des motifs valables et contre qui le mérite, au moment et durant le temps voulus. (Aristote, Ethique à Nicomaque).
Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
S'il reste du temps...oui ça rejoint ma question.Colonel Moutarde a écrit :En effet, mais dans mon enfance, je n'avais pas le choix : on faisait toujours les devoirs d'abord (d'une manière générale, "le désagréable" en premier, et le reste, après, s'il reste du temps).
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Marrant, jamais vraiment passé par cette phase. Faire le caméléon, je n'y arrive pas, en fait. Je pense que ça me rendrait fou en très peu de temps, exactement comme de me forcer à marcher lentement. Et puis, je ne conscientise pas le fait d'avoir des facilités, donc jamais l'impression de faire plus vite que n'auraient fait les autres, juste d'avoir eu la chance qu'on m'ait confié quelque chose de facile pour moi.Bref, j'ai appris qu'il ne fallait pas trop montrer ses facilités, sous peine de créer des déséquilibres et/ou des jalousies. Toujours dans les temps, mais jamais en avance et jamais la premiere.
De plus, depuis que je travaille, c'est toujours à un poste tel que je suis seul à traiter un dossier donné. Personne ne fait la même chose en même temps, donc toute comparaison d'efficacité est très difficile. Je rédige un rapport, en moyenne, plus vite que mes collègues ? Bah oui, mais nos études ne sont pas les mêmes, donc ça ne veut rien dire. (Et puis, ça ne les dérange pas, bien au contraire : j'aime analyser les données, eux préfèrent d'autres aspects de notre job où ils sont également plus efficaces que moi, ainsi on se partage l'espace et l'équipe prise dans son ensemble est efficace partout).
Je préfère m'assurer de faire au mieux pour ne pas encourir les foudres du supérieur. (Ma triste expérience m'ayant appris qu'elles peuvent quand même dégringoler sans raison jusqu'à vous écraser, alors autant se blinder).
Reste le problème du nombre d'heures, pourquoi en font-ils plus, pourquoi n'en ai-je pas besoin... Mais là encore je le pense comme "ils ont plus de boulot que moi, c'est tout".
Oui, ça nécessite d'oser affronter les conséquences vis-à-vis des autres, qui naturellement ne sont pas disposés à nous respecter si ça leur coûte quelque chose (si on n'est pas à 100% à leur disposition). Mais je crois que c'est aussi le vieux rêve de gosse, du jour où il n'y aura plus de devoirs à faire.S'il reste du temps...oui ça rejoint ma question.
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
L'avantage d'être passé par la prépa, je crois, c'est qu'on a forcément compris et accepté qu'on ne pourrait pas tout faire et qu'on a arrêté de se torturer trop pour ça.
Ça n'empêche pas d'en faire le plus possible, mais au moins de ne pas culpabiliser outre mesure.
Ceux qui n'arrivent pas à passer ce cap ne "survivent" en général pas à la première année.
Ça n'empêche pas d'en faire le plus possible, mais au moins de ne pas culpabiliser outre mesure.
Ceux qui n'arrivent pas à passer ce cap ne "survivent" en général pas à la première année.
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Perdu, je suis passé par la prépa...
J'ai eu une période "fataliste" où j'arrivais à déculpabiliser en me disant que j'avais fait de mon mieux et que ce n'était pas la peine de m'acharner. Je l'ai mis en place vers le milieu de la 1ere année, ce qui m'a permis de passer des dernières places à un assez honorable "milieu de tableau", de passer en 2e année, et d'intégrer une école très ordinaire mais qui m'a largement suffi, du premier coup, un peu à la surprise générale.
Mais ça n'a pas duré. Il n'y a pas, dans la vie, l'étalon neutre et objectif des notes. Celui qui veut en faire plus, ne rencontrera jamais un taquet objectif qui le rassurerait fermement en lui disant "c'est assez". Je suis toujours en recherche de foi en mon propre étalonnage, c'est le problème.
J'ai eu une période "fataliste" où j'arrivais à déculpabiliser en me disant que j'avais fait de mon mieux et que ce n'était pas la peine de m'acharner. Je l'ai mis en place vers le milieu de la 1ere année, ce qui m'a permis de passer des dernières places à un assez honorable "milieu de tableau", de passer en 2e année, et d'intégrer une école très ordinaire mais qui m'a largement suffi, du premier coup, un peu à la surprise générale.
Mais ça n'a pas duré. Il n'y a pas, dans la vie, l'étalon neutre et objectif des notes. Celui qui veut en faire plus, ne rencontrera jamais un taquet objectif qui le rassurerait fermement en lui disant "c'est assez". Je suis toujours en recherche de foi en mon propre étalonnage, c'est le problème.
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Et bien dommage que tu n'ais pas gardé ça, d'autant plus si tu as compris qu'il n'y avait pas d'étalon neutre...
Notes ou pas, on te demandera tjr plus, surtout si ça marche ( cf les objectifs qu'on donne pour que les gens produisent tjr plus..)
Notes ou pas, on te demandera tjr plus, surtout si ça marche ( cf les objectifs qu'on donne pour que les gens produisent tjr plus..)
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Fais ce que faire se peut, et advienne que pourra.
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Re: douance au travail : un syndrome des devoirs finis ?
Le regard d'Arielle Adda sur la douance dans le monde du travail...
[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=j0KYTAA_ ... AAAAAAAAAA[/BBvideo]
Merci à celui qui me l'a fait passer
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Merci à celui qui me l'a fait passer
Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. E. de la Boétie
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Re: Douance et travail : un syndrome des devoirs finis ?
Mlle Rose a écrit :Moi je fais ça avec ce que j'ai dans mon assiette, je mange du moins bon au meilleur, genre je mange la pizza en commençant par le tour et je finis au milieu...
Avec le boulot je peux pas encore classer mes patients du plus pénible au plus cool et organiser ma semaine comme ça, mais c'est une idée tiens
J'ai exactement la même technique que toi pour manger ^^. Je le fais avec tout.
Et pour le travail c'est pareil. Je finis vite pour avoir la paix et faire quelque chose de plus intéressant, comme je le faisais pour l'école, du plus chiant au plus agréable.