Chansons pour état mélancolique

[asdf]

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=BcYYPPZVe68[/BBvideo]

[Nashira]

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=ZGE1-JiiqVU[/BBvideo]

[Nashira]

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=RCObXuAwCIA[/BBvideo]

[deliloo]

Vraiment beau celle-ci Nashira ! (je sais on dit belle, mais c'est beauuu)
Saez est aussi un des timbres mélancoliques que j'écoute et chante quand ça va moyen (malgré ses fins de mots en "hémmm")

Truman sleeps ( à Aspasie)
[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=hjvspeLgeww[/BBvideo]
Pachelbel
[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=9JJ9k7jgTqU[/BBvideo]

l'ensemble de la BO de Titanic (oui je sais... )
[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=XAYs3cF0 ... ure=relmfu[/BBvideo]

[soazic]

[BBvideo=560,315]http://youtu.be/os5p6dr4BnM[/BBvideo]

il me manque

[cemara]

j'ai aussi quelques musiques bluesantes à souhait .....

"à l'intérieur " de Pierpoljak


[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=X1_zxOL6ZKs[/BBvideo]



"ne me quitte pas " de Brel
[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=cBMDX2sR27U[/BBvideo]



"Yumeji's theme" du film In the mood for love

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=23oBMOvt85o[/BBvideo]



je vais écouter les titres d'Apasie

PS pour Tournseol
je n'ai pas deezer payant j'entre juste mon pseudo fessecebouc et tout marche en gratuit

[cemara]

oups j'ai oublié de citer mon Dieu
oui mon Dieu
la rencontre fut extraordinaire
je marchais sur la place de la comédie à Montpellier pour rejoindre l'entrée du parking
sous-terrain quand mes pas ont été totalement stoppés par un son
un son de guitare
je ne pouvais plus partir
et j'ai cherché j'ai cherché
et derrière un panneau de pub je l'ai trouvé
jouant tout seul sur la place publique
je n'ai même pas osé lui parler
je me suis assise par terre et j'ai écouté j'ai bu ses sons je m'en suis enivrée une heure durant
puis je lui ai acheté ses 2 CD et je suis repartie chercher ma voiture , la tête ailleurs

je vous présente le Dieu El Kado dans sa "ballade andalouse"......

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=yuEDWYrscWg[/BBvideo]

[Nashira]

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=cQG7dZUnNLs[/BBvideo]

[Aspasie]

Merci bien en retard pour le clin d'oeil que je n'avais point vu !

[asdf]

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=Ryh0zEVx ... re=related[/BBvideo]

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=OcxQfCZ_9V8[/BBvideo]

[dédale]

Voici ma contribution:

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=_MleQRaFCao[/BBvideo]

[Lina]

J'aime beaucoup ce sujet!

En ce moment, pour moi, c'est celle là:

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=ENXvZ9YRjbo[/BBvideo]

Et celle là (j'ai presque pleuré en la réécoutant à l'instant ^^)

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=snU9vQNOkHw[/BBvideo]

[Joebar]

Séquence nostalgie ce soir...

[BBvideo=425,350]http://www.youtube.com/watch?v=_Jtpf8N5 ... re=related[/BBvideo]

[Kan]

[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=LdfB8pM-qLw[/BBvideo]


Si, si, j'assume

[absurde]

Cette chanson me transporte aux lImbes de mon adolescence et les larmes me montent aux yeux. je sais pourquoi: c'est l'image du paradis perdu, sublimée dans ma mémoire.

[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=DQx6KyFZ9B0[/BBvideo]

Paroles :

► Afficher le texte

T'avais mis ta robe légère
Moi, l'échelle contre un cerisier
T'as voulu monter la première
Et après

Y a tant de façons, de manières
De dire les choses sans parler
Et comme tu savais bien le faire
Tu l'as fait

Un sourire, une main tendue
Et par le jeu des transparences
Ces fruits dans les plis du tissu
Qui balancent

Il ne s'agissait pas de monter bien haut
Mais les pieds sur les premiers barreaux
J'ai senti glisser le manteau
De l'enfance

On n'a rien gravé dans le marbre
Mais j'avoue souvent y penser
Chaque fois que j'entends qu'un arbre
Est tombé

Un arbre, c'est vite fendu
Le bois, quelqu'un a dû le vendre
S'il savait le mal que j'ai eu
A descendre

D'ailleurs en suis-je descendu
De tous ces jeux de transparence,
Ces fruits dans les plis des tissus
Qui balancent ?

J'ai trouvé d'autres choses à faire
Et d'autres sourires à croiser
Mais une aussi belle lumière
Jamais

A la vitesse où le temps passe
Le miracle est que rien n'efface l'essentiel
Tout s'envole en ombre légère
Tout sauf ce goût de fièvre et de miel

Tout s'est envolé dans l'espace
Le sourire, la robe, l'arbre et l'échelle
A la vitesse où le temps passe
Rien, rien n'efface l'essentiel

J'ai trouvé d'autres choses à faire
Et d'autres sourires à croiser
Mais une si belle lumière
Jamais

Et voilà que, du sol où nous sommes,
Nous passons nos vies de mortels
A chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel

Et ce commentaire trouvé sur le net, auquel j'adhère totalement:

► Afficher le texte

«La robe et l’échelle».



Rien que le titre.



Cette apposition simple et singulière, renforcée d’un «et», nous dit déjà que sans l’échelle la robe n’aurait pas été, et réciproquement, que cette échelle n’a d’épaisseur à la mémoire que liée à cette robe. Cette consubstantialité, cette combinatoire originale, est la signature même des moments de grâce, de ces moments qui zèbrent la vie, tiennent nos désirs ardents et nous forgent autant qu‘ils étalonnent nos goûts et nos espoirs. A la manière de Proust, le souvenir se fait métaphysique, brique ou pierre d’un soi : nous ne sommes que le souvenir de nos expériences.



C’est ici dans la simplicité d’une poésie légère et sans façon, pour mieux aller chercher ces détails qui disent l’accessoire mais parlent d’essentiel, que ce texte se donne à qui «lit» quand il écoute: un esprit, une intention que l’on retrouve filés tout au long du développement, sorte de ligne de conduite simple, épurée, ciselée, dentelle de détails, d’évocations et d’effleurements, sensualité, suavité, variation de rythme en accélération et repos, bref, érotique au sens le plus noble. Et au-delà de cela, dans une ligne de fuite qui prolonge le moment évoqué, tout le rapport doux amer du porteur de souvenir à son souvenir même.




T'avais mis ta robe légère

La tutoyée nous dit les amours anciennes gardées au cœur, donc pardonnées, fondatrices, sorte de personnage conceptuel à qui l’on s’adresse de temps en temps, non pas pour dire le regret mais plutôt l’héritage. La robe nous dit la liberté, l’audace, la permission, l’invitation, la préméditation – une façon de cacher sans entraver, de rendre possible sans promettre. Le léger nous dit fluidité, flottement et presque rien, quand on ne sait plus qui du contenant ou du contenu éclaire l’autre.


Moi, l'échelle contre un cerisier

Naïf est celui qui pense que tout part d’une bucolique cueillette des cerises ! Le geste de poser l’échelle contre le cerisier n’est ni l’expression d’une utilité bêtement pratique, ni même le fait provocateur, mais bien déjà une suite, une façon ingénieuse de tester ce que l’on a cru comprendre des intentions de l’autre: «voyons voir si le choix de cette robe relève de la préméditation ou de la candeur» pense le dresseur d’échelle. Sous nos yeux, là, avec simplicité, pudeur et subtilité, se raconte la mécanique élémentaire du jeu amoureux. C’est la robe qui provoque, et l’échelle qui répond… jeu de chat et de souris, où la souris n’est pas là où l’on croit.


T'as voulu monter la première

Le fait qu’elle ait voulu monter la première laisse supposer qu’il y a eu, l’espace d’un instant, question, et qu’à cette question - la galanterie en ce cas précis aurait décidé du garçon en premier - elle veuille monter la première dit la réponse à l’échelle, toujours dans ce jeu, et déjà, oui, le consentement. La candeur s’efface, les intentions se dévoilent, la préméditation même s‘invite et avec elle l’érotisme de l’initiative et du consentement. Il n’y a rien de plus érotique qu’une femme qui consent, en toute liberté - quand la proie se fait appât, donc prédateur, en menant le jeu.


Et après

Ce très court vers que la licence autorise à ne pas rythmer comme les autres, dépasse largement les simples deux mots que tout le monde connaît, à la manière peut-être de points de suspension, ici dits　: laisser voir le craquement du temps, et suspendre le possible qui se cristallise.




Y a tant de façons, de manières

De dire les choses sans parler
En quatre vers, il y a tant de choses dites, et là, cette pause, ces deux vers, pour dire peu. Crier au gâchis　? Non. Variation de rythme, tout simplement. J’adore l’impression de facilité d’écriture que donnent ces deux vers, moins denses. Le besogneux en écriture n’aurait pas perdu tant de mots pour dire si peu, tout affairé à faire passer le maximum de choses, dans la lignée de ce début aux interlignes tonitruantes. Là, au contraire, c’est l’occasion d’une respiration pour la conscience qui écoute et pèse les mots, une occasion de dire peu après avoir dit beaucoup, comme un vase d’expansion laissant à celui qui écoute un peu de temps à lui. Tout juste y apprend-on qu’il ne se dit rien, ou plus exactement, qu’on ne se parle pas… et que les façons et les manières voilent de pudeur le corps qui parle, le geste qui loin de trahir en dit long au contraire sur les permissions.


Et comme tu savais bien le faire

Tu l'as fait

Il y a quelque chose de touchant à cette qualité reconnue au travers du temps passé, comme un mélange aigre doux aux papilles de celui se rappelle avoir deviné confusément, dans le présent de ce moment, que le prix de ce trésor serait de fermer les yeux sur ce naturel qui en dit long sur l’expérience, résultante d’une faim qui se donnera ailleurs, trop animale pour être vierge ou fidèle.


Un sourire, une main tendue

La simplicité des gestes évoqués nous permet d’imaginer sans peine cette invitation, cette permission toute en contraste avec pourquoi pas, complément de lecture, un impératif, un désir, un appel. Consentir, c’est donner. Il n’y a rien de passif à consentir. Gestes à l’appui.




Et par le jeu des transparences

Enfin, oui, l’érotisme de cette ingénue apposition entre une robe et une échelle se résout enfin là, dans cette transparence joueuse ou l’on peut tout imaginer. L’idée du jeu aussi m’enchante. Non pas que je sois au nombre des pisse-vinaigres que la nudité crue gêne, au contraire ! mais cette idée de jeu souligne un peu plus l’intention, donc le choix: le jeu dit l’active propriété du tissu, de la robe, qui n’a pas pu échapper à la porteuse de robe. Tout ce qui précède n’était donc que le moyen de dérouler ses intentions jusque là…



Ces fruits dans les plis du tissu

Qui balancent

Que ces deux vers sont beaux. L’image du fruit en ligne avec le cerisier pour le registre, mais déjà furieusement explicite… et ce balancement évoqué qui dit sans détour mais avec une poésie folle l’absence de tenue, de contention, donc, sans détour, l’absence de dentelles hautes et basses sous cette robe légère. Oui, le «　et　» n’est pas certain, j’en conviens, rien ne l’établir, mais je me plais à l’imaginer possible ! Dans cette robe diabolique, ce corps en liberté, plus nu que nu.



Il ne s'agissait pas de monter bien haut

Mais les pieds sur les premiers barreaux

A nouveau, après ce moment fort des fruits par transparence, après la fulgurance de l’image, le temps du souffle, avec ces deux vers qui posent le rythme et permettent de profiter encore, alors que la chanson se poursuit, de l’écho… Pour être plus juste, échos est sans doute impropre, en appelant au son là où, avouons-le, c’est d’images qu’il s’agit, de flashs, peu sages.



J'ai senti glisser le manteau

De l'enfance

Je me plais à imaginer ces jeux adolescents, sacrifiant en cela aux non-dits de cette situation, mais j’aime à croire cette adolescence tardive, sans doute influencé que je suis par les fruits qui balancent, que j’imagine éhontément généreux, comme ils peuvent l’être à 17 ans plutôt qu’à 13. Il y a des moments, dans la vie où l’on sent la mue se craqueler et soi sortir de soi, et ce manteau de l’enfance qui glisse ne dit que cela: il y a un avant et il y a désormais un après, qui a commencé ce jour-là. Sans forcément aller jusqu’à dire «devenir un homme», mais en tout cas, franchir, accéder à quelque chose, avec là encore ce doux amer du souvenir, la magie du comment, et le regret infini de l’éphémère même de cette magie, quand une durée, quelque soit sa longueur, ne cesse de se contracter pour ne faire, au regard du souvenir, qu’un point.




On n'a rien gravé dans le marbre

Nous étions dans l’instant, dans le hapax existentiel michonfien, le choix originel sartrien, le craquement de soi, ténu comme le présent, et le vers d’après, par cette simple image du gravé et du marbre, voilà le temps qui se réinvite, et nous dit en un seul vers que l’histoire de la porteuse de robe et du dresseur d’échelle est finie et qu’on la regarde d’un présent fait de tout autre chose. J’ose y voir comme un faux soulagement, un constat d’honnêteté, maladroitement habillés d’une sagesse a postériori, et qui sent l‘imperceptible regret: ne pas promettre, c’est une façon de ne jamais rien risqué, de se garder disponible à tous les possibles… et avec l’âge se rendre compte que la multitude n’est rien, et que tout est dans l’unique, la rareté qui fait la valeur. J’ose imaginer que celui qui dit cela, ne rien avoir gravé dans le marbre, garde le vague sentiment d’avoir raté le coche, par vanité.



Mais j'avoue souvent y penser

J’aime ce vers pour le romantisme absolu de cette confession et en même temps le poison qu‘il distille: en contrepoint à cette confession, un malaise s’installe. Le présent, là, du narrateur, est donc vide à ce point, pour laisser assez de champ à ce souvenir pour qu’il résonne souvent ? Dans cette phrase là, posée là, on a déjà toute la demi-teinte de la suite, et le relativisme. Ce souvenir qui a étalonné une émotion, et que l’on cherche, errant, à égaler ou dépasser. Cette fuite vers ailleurs qui finalement ne fait que nous parler de ce point de départ.



Chaque fois que j'entends qu'un arbre
Est tombé

Ces arbres qui tombent, fruitiers ou non, disent ces bruits du monde qui lui parlent d‘elle et de ce moment, et ce «chaque fois» dit l’obstination du temps qui a pour lui l’éternité et le hasard, autant d’occasions de faire bruisser un passé tissé de souvenirs. Un arbre, une échelle, une cerise, une étoffe, un sein entraperçu… notre humanité même, analogique par essence, logique par culture, capte ses associations d’idées, étiquetant les objets ou les sensations du monde.



Un arbre, c'est vite fendu

Le bois, quelqu'un a dû le vendre

On connaît désormais la formule : ces deux vers allégés, pause simultanée dans l’intensité et dans le sens, laisse le temps au moment fort précédent de se dissiper, et réarme les appétits pour le prochain temps fort. Et le prochain temps fort, juste à suivre, est magistral.



S'il savait le mal que j'ai eu

A descendre

Il est fort ce Cabrel, il est fort, Mordious qu’il écrit bien ! Le voilà donc ce regret, cette douleur dans le plaisir, cette amertume, cette inconséquence feinte en réalité qui se trahit par le simple aveu de ce temps trop court, de cette difficulté à descendre de cette échelle. Je ne suis pas sûr que ce soit le plaisir qui soit à ce point regretté, mais bien plutôt le corps, le consentement de ce corps et le jeu ou la mise en scène de ce consentement, triptyque absolu que l’on peut chercher toute une vie sans le trouver, dont on peut ignorer toute sa vie jusqu’à l’existence, ou à l’inverse, comme ici, que l’on croise trop tôt et qui laisse un regard perdu, absent, et un goût de trop peu à la suite…


Et je pourrais encore à loisir, sur chaque vers ou couple de vers, vous dire ces cordes qui se mettent à vibrer sous ces mots justes, concis, à la poésie simple qui évoque sans emphase, sans effet de manche, avec juste ce qu'il faut d'humanité pour que chacun puisse y lire ses échos. Fabriquer de l'individuel sur des affects universels... de la poésie, quoi !


Moi, j’ai mis 38 ans à trouver mon cerisier, mon échelle et ma porteuse de robe. Au moment où je désespérais. Et au premier contact avec sa peau, du bout de mes doigts, j’ai su que le cerisier serait trop court, trop peu, trop inconséquent, que ma vie commençait là, et c’est un jardin d’Epicure que je construis autour de ce cerisier, cerisier dans lequel, croyez-moi, je remonte à loisir, au grès de ses consentements.

[axolotl]

Les trois quarts de vos titres me parlent... Ils me renvoient à ces moments de mélancolie où la musique m'anesthésie, m'aspire dans un monde parallèle et protecteur. Adolescente, je disais "j'entre dans la douleur et la musique me protège".

Ma chanson préférée pour ces moments est celle citée plus haut par Kabuki, "Mad World", reprise par Gary Jules.
Ce que j'ai pu la chanter... (comme une casserole).

Il y a aussi Thiéfaine et Higelin, beaucoup.

Et Amy Whinehouse :

Back to black

"We only said goodbye with words
I died a hundred times
You go back to her
And I go back to, I go back to black"

La musique guérit de tout
Elle m'ouvre toujours la porte

[LuluPoudre]

Que tout cela me parle.
Parfois je suis tellement à fleur qu'il vaut mieux que j'évite d'écouter.

Thiéfaine oui , il me fait souvent frissoner. Ses mots sont comme des tours de magies. J'y trouve toujours quelque chose et les écoute comme une gamine émerveillée.

Melle Rose a déjà posté Alligator 427. Alors je vais mettre celle-ci :

[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=G3cFkaqhD0I[/BBvideo]

Higelin , lui aussi un chouette magicien. Plus gai.

Puis Juliette et ses mots délicieux. Une gourmande de l'écriture :

[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=fNZUTI5DK2s[/BBvideo]

Puis Souchon acide/tendre et nostalgique. Il extrait du simple des mots toute leurs poésie.

[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=ckN3o4Khvjo[/BBvideo]

Bjork qui parle tellement à tous ces sentiments mélangés que je vis parfois :

[BBvideo=560,315]http://www.youtube.com/watch?v=x5nNfbTS6N4[/BBvideo]

[Sofifonfec]

Tout de Tom McRae - en particulier My Vampire Heart et The Boy With The Bubblegun et plus récemment Alphabet of Hurricanes et et ... tout... Je suis fan inconditionnelle, et il reste trop peu connu (ce qui est à la fois dommage pour lui et mieux pour moi, il ne fait que les petites salles de concert cosy ;-) http://www.youtube.com/watch?v=fGzOPHGz ... re=related
Il vient de sortir une jolie vidéo : la chanson s'appelle Nothing on the Dry Land http://www.youtube.com/watch?v=sL22Y8YFOLc

Otis Redding, I've been loving you too long

Antony and the Johnsons, Hope There's Someone

Ane Brun, To Let Myself Go

Great Lake Swimmers, Moving, Shaking

Noir Désir... l'album Noir Désir en public est exceptionnel - au delà de la personnalité et du chemin de vie torturé de B. Cantat, Noir Désir reste pour moi indépassable en intensité et en qualité. Des Armes de Léo Ferré repris par eux, la voix de Cantat qui se fêle. Je ne peux pas écouter cette chanson sans me fêler moi aussi. Frissons, gorge nouée, bref.
http://www.youtube.com/watch?v=nMOimPB8aOY

Et pis plein d'autres trucs (80% de ma musique, à vue de nez)

[Hadiz]

Merci pour Souchon LuluPoudre !
A propos de Ferré :

Quartier latin
http://www.youtube.com/watch?v=s5twgXL7_B4

[maxmomo]

Quelques ajouts :
Miossec "30 ans"
http://youtu.be/BGZ-aGCmkgo

Radiohead "A wolf at the door"
http://youtu.be/dvBPCm25z4I
Radiohead "I will"
http://youtu.be/euzLGUmb2MM

Michel Jonasz "J'veux pas qu'tu t'en aille"
http://youtu.be/PLMNW5L947k

Arno "Comme à Ostende"
http://youtu.be/ue73XWg1fHA

Blonde Redhead " Hated Because of Great Qualities "
http://youtu.be/dKtBAzZo_nk
Blonde Redhead "For the damaged"
http://youtu.be/oUPBj6yso3g

[Joebar]

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=0OzRPUjwUfk[/BBvideo]
[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=P-eUHWVx2WE[/BBvideo]

[DiscoStar]

Une petite sélection en passant. Titres de groupes plutôt 80's :

-Human League : "Human"

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=s1ysoohV_zA[/BBvideo]

- Foreigner: "I want to know what love is"

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=loWXMtjUZWM[/BBvideo]

- Christopher Cross: "run like the wind"

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=ur8ftRFb2Ac[/BBvideo]

[Krelligan]

j aime beaucoup saez perso en mélancolique

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=8Ye8xP7BDj0[/BBvideo]

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=JKinA2dr24E[/BBvideo]

j en profite un peu pour me montrer xD :p

[dave smallwood]

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=Xx3yXUunEq8[/BBvideo]

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=aU-dKoFZT0A[/BBvideo]

[maxmomo]

[BBvideo 425,350]http://www.youtube.com/watch?v=svB0dGsP8rk[/BBvideo]